Depuis 2012, Nos Oignons promeut l’agriculture durable et sociale. La rencontre, la collaboration et la solidarité des personnes venant de différents horizons et des professionnels de l’agriculture sont au coeur de nos activités.  Nos Oignons s’adresse en priorité – mais pas seulement ! – aux personnes que la vie a amenées à fréquenter des services actifs en matière de santé mentale, addiction et aide sociale.  Notre démarche est intersectorielle, car la santé humaine et celle des sols sont fondamentalement inter-connectées.

Où nous retrouver pour se reconnecter à la terre ?


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Témoignages

« Je fais du maraîchage, il y a un côté idéal, un côté lié aux enjeux environnementaux. C’est sûr qu’avec l’enjeu économique qui est d’essayer de vivre du métier, ce n’est pas tous les jours ressourçant d’être dans le champ. Mais le fait d’accueillir des gens, de voir l’effet que ça peut avoir sur eux, cela fait que ce sont vraiment des moments précieux. Ce sont des moments d’échange, de partage. »
Partenaire agricole
« C’est vital pour moi de venir au potager, ça remet du lien et ça m’aide aussi à être dans l’instant présent. J’essaie de mettre certaines choses de côté. Et puis avec l’énergie du groupe et ce beau lieu, ça aide à cultiver de bons moments. »
Volontaire
« J’apprends les périodes de cultures, les noms des plantes, il y a le contact avec la terre. On est dans le calme, avec des personnes qui sont positives. En plus on a de la chance avec la météo, chaque fois que je viens, il fait beau ! Le retour dans la nature, c’est la meilleure chose à faire. Avoir des activités toutes les semaines. On ne pense plus à nos problèmes, et c’est vraiment génial ».
Volontaire
« En tant que maraîchère, ce qui m’a le plus touché c’est de partager un lieu, et le bien-être que moi je peux vivre à la ferme. En arrivant le matin, j’avais l’impression que plus je me rapprochais du terrain, plus mes soucis s’évaporaient. C’est ce truc-là que je voulais partager avec le groupe. Ce truc de ‘vivre la paysannerie’ sur un petit territoire où l’on peut s’amuser, glaner plein de choses, se soigner, manger. Je trouve toujours ça hyper gai quand le groupe rebondit, saisit les choses et qu’on repart en fin de journée avec un sirop de baies, un baume, un bouquet à faire sécher… »
Maraîchère-tisanière
« Ce qui fait que ce métier est chouette, c’est quand ce n’est pas juste de la production, faire pousser des légumes avec le plus de rentabilité possible. C’est aussi un projet humain, qui charrie beaucoup d’émotions. J’aime bien me dire que le champ, c’est l’endroit où on vient aussi pour se reposer, se se ressourcer et se soigner. Il y a de l’espace pour cela. C’est bien aussi pour les gens qui accueillent, je trouve. Du coup cela nous rappelle qu’il faut qu’on ralentisse aussi et que c’est important ce lien qu’on crée, ces rencontres qu’on fait. J’ai l’impression que cela fait du bien à tout le monde ».
Maraîchère
« Ca me donne l’impression de faire encore partie de la société. Parce que quand on est en maladie on perd le lien avec le tissu social. Je rencontre des gens, ça rattache au monde en fait. Et puis comme c’est un agriculteur bio et que je suis assez convaincue que c’est la bonne manière de cultiver et de s’alimenter, ça me parle d’autant plus ».
Volontaire
« Premièrement ça rythme la vie, ça rythme la semaine. Puis on rencontre des gens de tous les horizons, mais on ne nous demande pas d’emblée d’où on vient, ce qui nous amène ici. Chacun vient avec son histoire, et peut la partager, ou non. C’est extrêmement convivial toutes ces rencontres ».
Volontaire
« En fait je reste un agriculteur comme tous les autres agriculteurs. Sauf que j’ai ouvert ma ferme pour eux et qu’ils ont le droit de me poser n’importe quelle question. Et j’ai le droit de discuter avec eux. C’est juste une relation simple entre deux personnes humaines. C’est sortir de la routine, quoi ».
Maraîcher
« Je cherchais un volontariat. Ce qui m’a plu c’est qu’on m’a acceptée directement comme je suis. Il y a une bonne écoute et cela fait du bien. Et puis ce qui est génial c’est qu’au fil des saisons on découvre des légumes qu’on n’a pas l’habitude de voir, qu’on apprend à en prendre soin, comme nos ancêtres en fait. C’est le futur et on a besoin de l’encourager un peu plus que cela. On a une utilité quand on vient ici à la ferme. »
Volontaire
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Nos Oignons et l’agriculture sociale

Rapport d’activité 2022


Article dans le magazine Tchak : « L’agriculture sociale: réparer les vivants, soigner la tête et la terre »


Manifeste pour la mise en place de Dispositifs d’Agriculture Sociale (DiAS) en Wallonie


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